Le coin des cinéphiles...

content de vous faire rire ....

je me doute ; à part la vraie pièce dédiée , ici j'ai un beau bricolage dans un grenier ; avec du BW et un sunfire ....

je ne peux pas pousser beaucoup de peur de subir une éventration ; d'ailleurs , je supporte plus (+) que la majorité des
jeunes qui veulent en prendre plein le "nez" (?)

mais je ne sacrifie jamais l'écran pour le cinéma (faut pas déconner ; la bande son , aussi chouette soit-elle , elle accompagne
le film ; pas l'inverse , sauf exception)

il faudrait vraiment que vous essayez de voir le Lot sur une carte ... la retraite arrive :moqueur:

Oui, chez la plupart, c'est le son qui accompagne l'image, chez moi, c'est plutôt: l'image qui essaye (bien timidement) d'accompagner le son :moqueur:

je vais t'avouer un truc

pour le son , y'a quand même un paquet de JBL que j'aimerais (ré/ou re) écouter , entendre , découvrir

je n'ose te donner la liste !

on commence sans aucun doute par celle de ma naissance , 1957 , et celle de mes dix ans , 1967

tu vois de quoi je parle ?

avec une bonne électronique au cul et une pièce ad-hoc ...

si les fils d'enceintes traînent par terre , je ne chierai pas une pendule , promis juré !  :moqueur: )

oui, j'imagine, telles que les LANCER 101, la HARTSFIELD, les OLYMPUS, etc..jusqu'à la PARAGON

Dans ces générations, il y avait de beaux jouets "d'homme", qui avaient "du poids sur les notes"! Mais attention, question finesse, analyse du message, directivité et coloration prononcées, bande passante limitée....il y avait aussi pas mal de compromis qui ont peu à peu été atténués au fil des générations suivantes ...Mais elles ont aussi leur charme, c'est certain...

Les seules que je connais dans cette époque, question écoutes, c'est l'OLYMPUS S8 dans sa version la plus évoluée, la 4320 également, la 4310 aussi....

ne ratez pas pas "LE HAVRE" sur arte

avec deux énormes comédiens que vous reconnaîtrez aisément !!!!!!!!!

un film parfait

ah oui, je l'ai vu il y a quelque temps celui là, excellent en effet!! :twisted:

... avec une p'tite prestation du bob en plus ... !!!!!

... je ne vais pas le regarder (le connais trop) mais si vous ne connaissez pas , chef d'oeuvre façon usa (rare)

un casting de dingue

un scénar impec

une réalisation sans faille

images de ouf

musique adaptée

http://programme-tv.nouvelobs.com/cinema/sleepers-70509/

un livre majeur de ray bradbury dont je ne suis pas fan absolu ; il y a d'autres grands maîtres dont philip k dick et norman
spinrad et asimov et ..... (y'en a pour une heure)

je ne suis pas fan non plus de truffaut mais , avoir eu les couilles de s'attaquer à ce genre de fiction en 66 , force le respect

je l'ai vu il y a très longtemps et je vais le regarder ce soir

c'est là :

http://programme-tv.nouvelobs.com/cinema/fahrenheit-451-1165060/

Vous connaissez cette série.?




J'ai bien aimé la première saison, un rythme lent,  très lent même parfois mais une bonne ambiance générale et une bande son sympathique.  :)


La saison 2 inédite de "Hap and Leonard" sera diffusée dès le Jeudi 20 avril sur SundanceTV  8)



A lire, la critique de Télérama:
...
http://www.telerama.fr/series-tv/hap-and-leonard-le-pulp-sans-se-secouer,139171.php
...

Citation :

Hap & Leonard. Hap Collins (James Purefoy, le Marc Antoine de Rome) et Leonard Pine (Michael Kenneth Williams, le Omar de The Wire) sont deux amis inséparables dans le Texas des années 1980. Quand l'ex-épouse de Hap, Trudy (Christina Hendricks de Mad Men), leur propose d'aller récupérer au fond d'une rivière le buttin de deux criminels abandonné là vingt ans plus tôt, ils s'embarquent dans une chasse au trésor (forcément) louche, qui va (on s'en doute) mal tourner…
James Purefoy :


Ce n'est pas la première fois qu'un roman de Lansdale est adapté en fiction. Deux longs métrages ont été déclinés de ses écrits, le confidentiel Bubba Ho-Tep, avec Bruce Campbell (2002), et le thriller Cold in July, avec Michael C. Hall (2014), chaudement accueilli par la critique. Hap and Leonard, moins délirante que le premier et moins brutale que le second, coche une à une toutes les cases du genre pulp : l'Amérique profonde, les dialogues bourrés de blagues, les héros cool, la femme fatale, les flics bedonnants, les méchants psychopathes, une foule de personnages secondaires hauts en couleurs, le rock sudiste et la country en B.O., etc. Même si son premier épisode reste avare en bastons sanglantes, on sent bien qu'il y aura aussi de quoi satisfaire les amateurs d'action – d'autant que Lansdale, quand il n'écrit pas, est un spécialiste des arts martiaux.

La première qualité de Hap and Leonard, ce sont ses deux héros et leur amitié (pensez à L'Arme Fatale, par exemple). Leonard, le Noir, gay, ancien du Vietnam, est du genre nerveux. La moitié de ses répliques suggèrent qu'il ne vaut mieux pas l'énerver (1). Hap, le Blanc, divorcé et toujours amoureux, a fait de la prison pour avoir refusé d'aller combattre aux côtés de son ami d'enfance. Ils se connaissent par cœur, se raillent, se chamaillent, se rassurent, se soutiennent dans une vie pourrie, miséreuse, entre jobs pénibles dans les champs de roses et soirées arrosées au mauvais whisky. « Ils on l'air d'un couple marié », résume le personnage de Christina Hendricks, passée de rousse à blonde mais toujours résolument fatale – et bien plus intelligente que les hommes qui l'entourent veulent le croire.

Des personnages attachants

Purefoy et Williams expriment immédiatement la tendresse vache et la tristesse un peu aigrie de leurs personnages, déçus par une existence déjà bien entamée – « où est ta part du rêve américain, Leonard ? », lui demande le nouvel époux hippie de Trudy ; « Je l'ai mangé », répond-il. Sans trop en faire, les scénaristes Nick Damici et Jim Mickle (déjà derrière le film Cold in July) s'amusent cruellement des eighties, du racisme ambiant, des séquelles du Vietnam, de la déliquescence des idéaux des sixties. Ils prennent leur temps, dans ce pilote, pour dessiner leurs personnages. Cette ouverture, du coup, manque un peu de nerf. Sa nonchalance frôle parfois les longueurs. Mais elle parvient à nous rendre attachants Hap et Leonard, ce qui sera utile quand l'intrigue dérapera. C'est ce que promet son ultime scène, qui fait rentrer dans la danse un couple d'assassins déjantés résolument pulp, fan de disco et d'objets contondants…

premier épisode vu hier soir, ça m'a l'air d'être vraiment pas mal

merci pour le lien

Tiens je vais regarder la série du Pape...

Et ça... J'irais le voir... :

https://www.onf.ca/film/rew_ffwd/

extrait d'un film d'anthologie ... :moqueur:



en fait , ça vient d'une ressortie de la discographie du gotainer pour qui j'ai toujours eu un grand respect - pet

ça sent bon le "au bonheur des dames"

celle-là est parlante pour cette veille "du grand jour" ; elle me cause (sans bien sûr le moindre sous-entendu en ce jour
de silence absolu ...  :chut!: )

Bon... Ce soir... Alien !!!

Quelqu'un l'a vu...?

Pas encore. J'y vais mardi prochain
tu nous diras ...

itofa a écrit:

tu nous diras ...

oui raconte l'histoire et tout et tout asap :moqueur:

"A quelques jours de la sortie en salles du nouvel opus d’Alien, la 20th Century Fox a publié une vidéo faisant le lien entre Prometheus et sa suite. On y découvre le destin d’Elisabeth Shaw et de l’androïde David après Prometheus.

Absente de la promotion d’Alien : Covenant, Noomi Rapace, alias le docteur Elisabeth Shaw, sera bien de retour dans le film qui sortira le 10 mai prochain. L’information a été dévoilée par le biais d’un prologue dévoilé par la 20th Century Fox. La scientifique y apparaît dans son voyage sur la planète des Xénomorphes. Shaw est toujours en compagnie de David (Michael Fassbender), l’androïde qui a survécu à sa confrontation avec les aliens. C’est donc dans le vaisseau des Ingénieurs que les deux compagnons de fortune arrivent sur la planète d’origine des créateurs des humains. La scientifique est d’ailleurs placée en sommeil prolongé pour survivre à l’expédition.

Un lien avec Alien : Covenant

Les deux compagnons ont traversé de nombreuses épreuves dans Prometheus. Arrivés sur la planète des Ingénieurs, les deux personnages devraient être retrouvés par l’équipage du Covenant. David, a priori immortel du fait de sa condition d’androïde, devrait être retrouvé sans dommages par les nouveaux protagonistes. Reste par ailleurs à savoir comment sera retrouvée Shaw et si elle sera en vie ou non lors de ce nouvel opus."

je ne veux pas en savoir plus !!!!!

laissez moi jouir ...

Alien était la bonne idée du matin...
C'est la mauvaise de l'aprem qui a été appliquée...!

Filochard = 3,5€ la dose de lagavulin 16ans...
Quand tu veux une double, t'as une triple...
15h/3h...
J'en chie...!

:bball:
tu vas être obligé de faire un tennis demain pour te remettre!!
bon plan le Lagavulin 16 à 3.5€, ce doit être le prix d'une bière à Paris :bounce:

Pour les amateurs d'embrouilles nord-américaines assaisonnées à l'hiver du middle-west, "Fargo" ce soir des frères Cohen sur TCM (pour les abonnés au câble). Top.

je tiens à manifester mon accord absolu sur ton jugement , Mister Will !

un chef d'oeuvre du genre ; je me souviens avoir acheté le dvd dès sa sortie après l'avoir vu au cinoche et il a tourné très
souvent pour les copains

y'en a un autre excellent dont je ne me souviens plus là tout de suite du titre ... le crash d'un p'tit navion dans la neige avec un paquet de fric et l'histoire de fou qui s'en suit ... ma mémoire défaille

j'en ai chié mais j'ai trouvé :

un plan simple de Sam Raimi

merci pour votre aide !

Ceux qui ont la chaine OCS CITY vont pouvoir voir ( revoir ) cette superbe série TREME à partir de Vendredi 14 Juillet à  20:40

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http://television.telerama.fr/tele/serie/treme,4785385,saison1,episode1.php
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Saison 1 - Épisode 1  

Do You Know What It Means ?

Synopsis


En 2005, la Nouvelle-Orléans a été dévastée par l'ouragan Katrina et tente de continuer à vivre tant bien que mal. Une poignée de musiciens, des membres d'un orchestre de jazz, s'efforce de restaurer son cadre de vie et, malgré la proximité de ce douloureux événement, décide d'organiser une parade traditionnelle. Parmi les musiciens, Antoine Batiste, un tromboniste de talent, a bien du mal à continuer à se satisfaire de son existence. Il partage sa vie avec sa compagne et leur bébé mais secrètement, le musicien n'aspire qu'à une chose : il voudrait renouer avec son ancienne épouse, Ladonna...


Critique du 24/12/2011  



La Nouvelle-Orléans, trois mois après Katrina. Antoine, tromboniste fauché, court les cachets à travers la ville ; Janette, jeune chef cajun, peine à rouvrir son restaurant ; Creighton, universitaire révolté, se déchaîne contre le gouvernement... Une dizaine de personnages hauts en couleur, tous citoyens en souffrance, souvent ruinés, tentent ainsi de reprendre une vie normale.

Dans Treme, David Simon, un des plus grands auteurs de la télévision américaine (The Wire), laisse La Nouvelle-Orléans imposer sa respiration, son rythme nonchalant. Avec une approche documentaire d'une rare acuité, Simon multiplie les scènes du quotidien, croisant les trajectoires intimes de ses personnages. Sa série exige du téléspectateur de la patience. Il faut s'y plonger, se laisser hypnotiser par ses longues scènes de jazz, écouter ses personnages conter leurs peines et leurs espoirs, les voir lentement gagner en épaisseur. Alors s'offre à nous une oeuvre d'une force dramatique intense, émaillée d'un humour salvateur, magistralement mise en scène et interprétée.

Un chef-d'oeuvre aux ambitions narratives, esthétiques et politiques - quelle renaissance pour La Nouvelle-Orléans ? - rarement atteintes sur le petit écran, mais hélas diffusé en VF par France Ô.

Citation :

TREME est une sérieTv avec de vrais musiciens dedans...

A lire: La vraie vie des vrais jazzmen de “Treme” (1/2)
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http://television.telerama.fr/television/la-vraie-vie-des-vrais-jazzmen-de-treme-1-2,76686.php
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http://television.telerama.fr/television/la-vraie-vie-des-vrais-jazzmen-de-treme-2-2,76711.php
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Tombé dessus par hasard sur la Chaine Campagnes TV, ce documentaire sur ce très grand acteur est très agréable à regarder... :)